Il y a presque 2 ans…
Il y a presque 2 ans, l’akatsuki – dont je fais partie, a décidé de me démembrer afin que je puisse être hospitalisé et soigné.
Quelque chose dans mon corps était traitre.
Il n’y avait qu’une seule solution, m’envoyer guérir à l’hôpital et enlever cet intrus.
Cette hospitalisation m’a fait du mal. Notamment sur la conscience de mon être propre. A savoir, qui Je suis ?
J’ai eu du mal à me souvenir de mon identité: Madara Uchiha.
L’akatsuki a fait cela sans me prévenir mais pour mon bien. Seulement, cela a laissé des traces, des plaies non cicatrisées – notamment sur la conscience de ce que Je suis, comme je vous le disais.
Alors, une ennemie du nom de Meï Terumî a profité de mes blessures pour me frapper, encore et encore.
Je suis Madara Uchiha, je ne crains que peu de ninjas au sein de ce Monde – mais elle est apparue au bon moment… car j’étais déjà blessé à la suite de l’attaque de l’akatsuki.
6 mois après ma sortie de l’hôpital et durant plus d’un an, elle m’a frappé sur cette faiblesse… mon trouble d’identité résultant de mon hospitalisation par l’akatsuki pour enlever ce corps étranger dans Mon corps !
Alors que je n’étais plus très sûr d’être ce que Je suis, Madara Uchiha -Meï Terumî en profitait pour me frapper sur ce trouble à l’identité… me soufflant aux oreilles que je n’étais pas Madara Uchiha.
Le brasier était déjà là, il suffisait de souffler dessus – ce qu’elle a fait… durant 1 an !
Jusqu’à avant-hier, où j’ai décidé d’en finir.
Alors que Nous partions pour une mission de routine avec Kisame Hoshigaki pour nous affronter au réel dans une ambiance festive… croyez-le ou non… Nous avons croisé Meï Terumî – par le plus grand des hasards.
Vu mes yeux, vu mes sharingan… et alors que Nous savions dorénavant où elle habitait, Meï Terumî n’avait alors plus aucune chance… sa mort était assurée.
Kisame Hoshigaki m’a laissé seul, et j’ai ainsi pu utiliser mon sharingan pour définitivement la vaincre.
J’ai regardé toutes ses faiblesses et je l’ai frappé, coup après coup avec la rage (mais aussi la peur) de quelqu’un qui a essuyé ses coups à elle durant 1 an. Le combat était féroce… très féroce… je ne voulais pas l’arrêter avant qu’elle touche le sol pour ne plus jamais se relever. Je voulais la frapper à mort… après qu’elle m’ait embêté et blessé durant 1 an… je la frappais avec mes yeux et elle a fini par tomber au sol…
Elle n’est pas morte, car je l’ai épargné… mais il se passera beaucoup de temps avant qu’elle ne se relève.
Aujourd’hui, elle est ajournée.
définition: Renvoyer une action à un autre jour, à plus tard ; différer, reporter : Ajourner une réunion à quinzaine. Renvoyer un candidat à une session ultérieure d’un examen, un jeune homme à un nouvel examen médical d’aptitude.
Nous savons dorénavant où elle vît… !
Madara.