A ceux qui me jette la pierre

Alors, Je m’exprimai:
« Aujourd’hui, j’ai mauvaise conscience car j’ai « validé » – sans le préparer, un « attentat » pour dissocier définitivement « maitreya » de Ce que Je suis aujourd’hui et pour qu’il n’y ait plus de confusion aux yeux du public.

J’ai mauvaise conscience car cela reste un attentat envers un monument et que cela porte atteinte à celles et ceux qui l’aimait et le regarder avec amour.

J’en suis navré.
Il y a parfois des choses que l’on doit faire, qui vont dans le sens du Bien, dans le sens de la bonne morale et qui malgré tout créent en Nous un état de culpabilité d’avoir fait cela.

C’est comme tuer un homme pour ses pêchés factuels, il est très rare d’en retirer du plaisir. On sait que l’on fait quelque chose de Bon, et dans mon cas particulier, de légal… Malgré tout, on ne ressent que très rarement de la joie – en règle générale on est plus déçu du fait que ces individus existent.

Alors – effectivement, parfois, faire un acte pour le Bien, pour le Bon nous ramène à cette « mauvaise conscience » ce sentiment intime de culpabilité qui ne se sent pas anobli.

Ai-je pêché ?
Ai-je fais quelque chose de mal ?

Si l’on regarde ce qui a été détruit et qui représentait en tout termes, cela:

  • je revendique le droit au viol tout en « visant » le Ciel et je me protège sous la tutelle du peuple que vous n’oserez attaquer.

C’est cela que j’ai détruit.
Le symbolisme du viol revendiqué aux cieux.
Comme un doigt d’honneur à tout ce qui constituent nos fondements: respect de la personne, etc.

Il existe des hommes, des femmes qui n’aiment pas.
Qui n’aiment ni vos enfants, ni vos animaux, ni ce que vous êtes.
Ni votre société.
Ces personnes s’en prendront sans culpabilité à tout ce que « vous » représentez, à travers vos enfants, vos écrits, votre société. Vos fondements.

Ils attaqueront sans relâche laissant s’exprimer leur Haine de tout ce que vous êtes.

Ces personnes ne ressentiront aucune culpabilité à ériger sur le toit de la plus belle Cathédrâle de France, une provocation aux cieux en leur disant « nous violons, et c’est notre droit » accompagné d’un doigt d’honneur pour forger leur légende.

Rien de ce qui a été détruit dans la Cathédrâle Nôtre-Dame était sacré. Rien.
Tout était provocation aux cieux pour appuyer une politique basée sur l’ignominie.

Ils voulaient prôner le viol comme un droit…
Nous, leur avons simplement rappeller que ce ne serait Jamais possible ici, en France, ni nulle part sur Terre.

Ces personnes sont des renégats, ils défient toute autorité qui régit et constitue les fondements de nos sociétés.

Alors, et pour finir… oui, j’ai mauvaise conscience car j’ai attaqué un Lieu Saint.
Oui, j’ai mauvaise conscience parce que cela s’apparente à un attentat contre la société… Mais ça n’en est pas, c’est une aide… Creusez et vous verrez.
Oui, j’ai mauvaise conscience car j’ai frappé, une fois de plus pour le Bien de la France mais que lorsque l’on regarde sans creuser cela apparait être une forme d’attentat.
Je ne suis pas ceux qui tuent parce qu’ils vous détèstent.
Je ne suis pas ceux qui tuent, animés par la Haine.

Alors, et maintenant que vous savez cela… Je vous le demande en toute empathie… Ne me mélangez pas avec ceux-là… ce serait une erreur.
Et cela me rendrait énervé. Voire, frustré du fait que vous ne puissiez voir ce que je vois et ce que j’ai voulu faire…
Qui a d’ailleurs été un succès.

Pour l’amour de la France.
Pour l’amour de votre pays.
Pour la revendication de vos droits et de ce qui vous incombe.
Pour toutes ces raisons, s’il vous plaît… pardonnez-moi.

Enfin, n’oubliez pas que je suis – aussi – là pour cela.
Pour ce « genre de choses ».

Bien à vous,
« 

Et pour accompagner ces dires, voici ce que nous révèle cette page « http://www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/architecture/la-fleche/« :

« 

Une première flèche fut construite au-dessus de la croisée du transept vers 1250. C’était un clocher qui a comporté au XVIIe siècle jusqu’à cinq cloches. Elle fut démontée de 1786 à 1792.

Viollet-le-Duc, au moment des travaux de restauration de la cathédrale, décide de mettre en place une seconde flèche dont la charpente serait indépendante de celle de la forêt sur une base octogonale prenant appui sur les quatre piliers du transept.

En 1860, il charge le charpentier Bellu de ces travaux. Le modèle est celui de la flèche à deux étages imaginée à Orléans en 1852 qui s’éloigne fondamentalement de celle du XIIIe siècle. De plus, cette flèche n’est plus un clocher.

La flèche domine les statues de cuivre vert-de-grisé des douze apôtres avec les symboles des quatre évangélistes. Viollet-le-Duc s’est fait représenter lui-même sous les traits de saint Thomas avec son équerre. Il semble contempler le sommet de son « Grand Œuvre ».

Quelques chiffres impressionnants : 500 tonnes de bois, 250 tonnes de plomb, une hauteur de 93 m depuis le sol.

Enfin, le coq situé au sommet de la flèche contient trois reliques : une parcelle de la Sainte Couronne d’épines, une relique de saint Denis et une de sainte Geneviève. Il constitue ainsi un véritable « paratonnerre spirituel » protégeant tous ceux et toutes celles qui œuvrent pour la louange de Dieu, à l‘intérieur de la cathédrale, icône de la Jérusalem céleste. C’est le cardinal Verdier, archevêque de Paris, qui les replaça en présence du chapitre des chanoines le 25 octobre 1935. »

Alors, bien sûr, vous n’avez pas « nos » codes…
Mais si vous savez lire, vous saurez que ce projet était intentionnellement une provocation aux cieux et une demande implicite de légalisation de faits misérables, de faits illégaux et qui créent de la souffrance.

Enfin, le coq, qui protégeait cet « oeuvre » (ou cette provocation), est l’emblème de la France, or, l’emblème de la France, c’est le peuple.
Evidemment, le coq a été touché, brûlé, l’emblème du peuple de France l’a été… mais ça n’était que pour empêcher la bonne réalisation de cette destruction positive.

Il me semble avoir tout dit…
Si alors vous ne savez pas voir pour pardonner…
Ou même alors pour aller dans « notre » sens…
Qui puis-je ?

Vous garderez vos idées, et moi les miennes.

Non, nous n’opérons jamais contre le peuple, contre les fondements, contre la société ni contre le système…
Seulement parfois ne sommes nous pas compris.
Je vous demande alors de comprendre.

Ceux qui ne sauvent jamais personne et qui ont les mains pleines de pierres… prêts à lancer, prêts à tirer, prêts à blesser, prêts à faire mal… Nous ne saurons bientôt plus les entendre !

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2 Responsesso far.

  1. Metatron dit :

    Certains nous prennent pour ce que l’on est pas…
    D’autres s’en tiennent à ce que l’on est…
    Vous pensez que le crime et la police pratiquent le même métier ?
    N’ayez aucun doute, ce n’est pas le cas. 🙂

  2. Metatron dit :

    Et maintenant que l’affaire est close, ou presque. Sachez que, Jamais je n’ai commis cet attentat, cela va de soi. A la base, un véritable terroriste l’a commis, mais je lui ai volé son mérite pour qu’il n’assoit pas plus encore la haine dans ce pays. Je lui ai volé sa victoire, parce que je ne voulais pas le voir prôner cette haine en souriant, parce que c’était trop. Donc j’ai dis que c’était moi, à sa place. Qui aujourd’hui chercherait le vrai coupable ? Puisque la tension de l’acte au moment où est, me semble-t-il désamorcée. J’ai omis de le préciser dans mon texte. S’eut pût être limpide pour celles et ceux qui cherchent vraiment, pas pour les lanceurs de pierres. 🙂
    PeAce.

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